Le Service Volontaire Européen Noëline

Est-ce que tu peux te présenter un peu ?

Je m’appelle Noëlline, j’avais 25 ans quand j’ai commencé mon volontariat européen, un master en production et
communication de projets culturels en poche et je travaillais dans le documentaire audiovisuel à
Paris.

Quand et où est-ce que tu fais ton volontariat européen ?

J’ai effectué mon volontariat européen à Bruxelles, capitale européenne, à Muziekpublique,
une asbl qui défend et promeut les musiques traditionnelles du monde, en organisant une centaine
de concerts par an, des festivals et en gérant une académie de musique et la production de CDs au
travers de leur label.
J’y ai passé 11 mois, de mi-janvier à mi-décembre.

Quelle était ta motivation pour faire le volontariat européen ?

J’avais fait un master dans la culture pour travailler dans la production musicale, j’avais les
connaissances mais pas assez d’expérience dans ce milieu précisément. Le volontariat européen me permettait
d’acquérir cette expérience qu’il manquait à mon CV tout en découvrant un nouveau
fonctionnement au sein d’un pays étranger de l’UE, qui m’intéresse fortement. Comment vivent nos
voisins européens ? Ont-ils les mêmes problèmes sociaux, politiques ? Comment fonctionne un pays
avec deux communautés bien distinctes culturellement ?

En quoi consiste ta mission en volontariat européen ?

J’assiste à la production des concerts de Muziekpublique, comprenant de l’administratif, de la
logistique, la promotion, la gestion des bénévoles et l’accueil des artistes. C’est un suivi à long terme,
qui nécessite de prévoir au mieux mais aussi de savoir s’adapter. J’ai également participé à la
production globale du Hide and Seek festival 2019, festival de musique traditionnelle du monde à
travers des lieux insolites dans Bruxelles, qui s’est déroulé en août.

Qu’est-ce que ton expérience volontariat européen  ?

Une expérience professionnalisante supplémentaire, que je peux facilement mettre en avant, car en
travaillant un an au sein d’une structure, on commence à connaitre ses points forts et ses points
faibles.
Une confiance en soi, une sérénité quant à ce que l’on vaut en tant que personne. Aller travailler à
l’étranger c’est se mettre en danger, mais c’est également apprécier la bienveillance d’une équipe
toute nouvelle.
Un réseau plus ample, des personnes vers qui me tourner dans ma vie professionnelle et
personnelle. Des amis.
Mon volontariat a confirmé mon intérêt pour l’Europe, ses cultures, ses échanges, ses ressemblances.

Décris ton volontariat européen en trois mots :

Rencontres. Intégration. Reconnaissance.

Je vous invite à aller voir ce qu’on propose sur la page Facebook :
Et le site internet